Situation Sécuritaire à l’ Est de la RDC : Félix Tshisekedi poussé à négocier avec Kagame.

Le chef de l’état Félix Tshisekedi a échangé sur la situation sécuritaire et humanitaire qui prévaut à l’Est du pays.
Le jeudi 25 avril à la cité de l’OUA, avec Roxane De Bilderling, Lucy Tamlyn et Bruno Aubert respectivement ambassadeur de la Belgique, des États-Unis et de la France accrédités en République Démocratique du Congo.

Dans leurs échanges les diplomates ont souhaité à ce que le président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi puisse négocier avec Paul Kagame afin que cette guerre qui sévit à l’Est cesse.

D’après Roxane De Bilderling de la Belgique, les grands points débattu lors de leurs échanges étaient axés sur la situation sécuritaire.

«les échanges ont tourné sur les différentes questions, évidemment en premier lieu la situation sécuritaire dans l’Est où j’étais moi-même il n’y a pas si longtemps à Goma. Et j’étais encore jusqu’à ce matin à Bunia » a-t-elle déclaré.

Pour sa part, Lucy Tamlyn, ambassadeur des États-Unis a affirmé réitérer un autre engagement de travailler étroitement avec le gouvernement de la première ministre et le peuple congolais pour apporter notre soutien pour une solution pacifique de la situation sécuritaire dans l’Est de RDC.

À ce qui concerne la coopération de la RDC et la France, Bruno Aubert, ambassadeur de la France a affirmé que le point a été fait sur les dossiers de coopération sur les chantiers engagés depuis la visite du président français Emmanuel Macron l’an dernier à Kinshasa et sur le voyage prochain du président de la République, Félix Tshisekedi à Paris.

Pourquoi ces diplomates,obligent-ils Kinshasa à négocier avec le Rwanda et dans quel intérêt ?
Cette attitude de ces puissances occidentales prouvent combien ces pays ont la main mise sur ce qui se passe à l’est du pays.
Pendant que la RDC dit non à toute négociation avec ceux qui sont à la base de la mise et toute sorte d’atrocité que vit la population, ces pays cherchent de voies et moyens comment étouffer les efforts des autorités congolaises qui ont levé l’option d’en finir avec cette guerre d’agression.
L’on comprend le degré d’hypocrisie de la communauté internationale vis-à-vis de la République Démocratique du Congo.
Les autorités congolaises sont appelées à prendre de mesures courageuses face à leurs dont la sincérité est mise en cause.

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